Vendredi 7 juillet. Profitant d'un déplacement un peu loin de mes bases habituelles en me disant que je ne pourrais pas être au plus près, je me dirige vers Carsac-de-Gurson au Domaine Coquelicot.
Après 2h de routes tortueuses et sous un soleil de plomb j’arrive chez Grégoire Rousseau. Tout reposé de sa sieste, Grégoire me propose dans un premier temps de rester au frais chez lui dans une grande pièce aux murs imposants. Petit café, verre d’eau, Grégoire m’explique comment il est arrivé dans ce coin bien loin de sa base auvergnate. Après quelques années à travailler dans un domaine bordelais (dont il me tait le nom) avec un bon salaire, il opte pour un job chez un pépiniériste avec qui le contact ne passera pas. Les hasards de rencontres l’installent dans ce coin de Bergerac à quelques mètres du bordelais et plus précisément des Côtes de Castillon. Des terroirs sensiblement identiques mais des appellations qui ne jouissent pas du tout de la même notoriété et donc des mêmes débouchés commerciaux.



